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Le futuroscope privatisé mais remis à neuf sur les deniers du Conseil Général de la Vienne au bénéfice d’une société amie de Pierre et Vacances juste avant l’installation d’un Center Parcs

Posté par admin le 26 septembre 2010

Au mois de mai 2010 courait de façon insistante le bruit d’une proposition de rachat des actions futuroscope du conseil général de la Vienne par la Compagnie des Alpes, filiale de la Caisse de dépôts et consignations. Quelques jours plus tard la Vienne était citée comme choix probable pour l’implantation d’un sixième Center Parcs par la société Pierre et Vacances, ceci, en concurrence avec le Maine et Loire. Entre fin aout et début septembre, on apprend que d’intenses et discrets contacts sont en cours entre Pierre et Vacances, l’état et le conseil général de la Vienne avec mr Raffarin en première ligne.  Mr Brémond, le pdg de Pierre et Vacances décroche le 6 août, un rendez vous avec Mr Novelli, ministre du tourisme, maire de Richelieu, situé à 27 kms du projet du futur Center Parcs. Début septembre, on apprends que la Vienne est choisie par Pierre et Vacances, notamment en raison de la Présence du futuroscope avec lequel le Center Parcs ouvrira des partenariats. Le terrain choisi appartient à une filiale de la caisse se dépôts et consignations, actionnaire à 20% du futuroscope et le projet bénéfieciera d’aides de l’état et d’au moins 30 millions de subventions locales. Et aujourd’hui on apprends que la CDA, société souvent partenaire de Pierre et Vacances va bien être choisie par le Conseil Général de la Vienne comme principal actionnaire du futuroscope et que, en cadeau de Bienvenue, ce dernier va financer d’importants investissements et travaux sur le site.

La série d’articles suivants nous éclairent sur cet ensemble de faits d’une concomitance troublante, ou l’on voit Pierre et Vacances et ses partenaires bénéficier d’aides et appuis nombreux et généreux  pour s’installer ensemble dans la Vienne . Qui nous parlait « des copains et des coquins » ?

Le contribuable appréciera !

 

jeudi 25 mars 2010
Le Futuroscope bientôt vendu ?

Le Futuroscope intéresse plusieurs groupes maintenant que le parc a retrouvé une bonne santé financière (les deux dernières années furent bénéficiaires) avec un nombre de visiteurs à nouveau en hausse depuis quelques années. Il avait, avant cela, connu des années difficiles et fut géré à une époque (de 2000 à 2002) par le groupe Amaury qui n’avait pas réussi à redresser la barre.

Le conseil général de la Vienne, actionnaire majoritaire du Futuroscope, confirme au quotidien La Nouvelle République avoir reçu des propositions de plusieurs opérateurs. Selon ce journal, un des groupes intéressés par le parc de loisirs serait la Compagnie des Alpes (qui possède déjà, entre autres, le Parc Astérix et les parcs Walibi).

Le Futuroscope vient d’informer son comité d’entreprise sur les discussions en cours. Mais rien ne presse. Avant qu’une vente ne soit conclue un cahier des charges draconiens sera d’abord établi, il devra être validé par les élus et le conseil général conserverait par ailleurs une minorité de blocage. Si vente il y a, le nouvel opérateur ne détiendrait en principe pas une majorité absolue des actions, juste un majorité relative.

Actuellement l’actionnariat du Futuroscope (Société d’économie mixte locale du Parc) est réparti de la façon suivant: le conseil général (70 %), la Caisses des Dépôts et Consignations (22 %), le groupe Unibail-Rodamco (6 %) et I-Parks (2 %).

Mise à jour (26 mars):
Selon Challenge.fr, le président du Conseil Général de la Vienne souhaite qu’une décision soit prise (de vendre ou de ne pas vendre) avant l’été. Il y a des discussions avec trois groupes dont la CDA.

Mise à jour (27 mars):
Les négociations se font avec trois groupes différents selon la Nouvelle République: outre la Compagnie des Alpes (qui semble être favorisée) il y a deux groupes espagnols intéressés (l’un d’eux est très probablement Parques Reunidos).

Source:

http://www.parcplaza.net/2010/03/le-futuroscope-bientot-vendu.html

 

Comment le Futuroscope va-t-il être partagé ?
25/09/2010 05:40
La cession des parts du Futuroscope à la Compagnie des Alpes se précise. Le principe en a été expliqué hier aux élus de la Vienne.
Le 18 octobre, les élus du conseil général diront si oui ou non ils cèdent 40 % des parts du Futuroscope à la Compagnie des Alpes qui prendrait ainsi les commandes du parc en 2012. -

Le 18 octobre, le conseil général de la Vienne dira si oui ou non il cède 40 % de ses parts du Futuroscope à la Compagnie des Alpes, qui deviendrait ainsi actionnaire majoritaire du parc de loisirs dont il prendrait officiellement les commandes en 2012. Avant de faire le grand saut, les élus ont planché hier matin sur le montage de l’opération. Aujourd’hui, le Département détient 70 % des actions du Futuroscope, la Caisse des dépôts et consignations (CDC) en possède 20 %, le reste se partage entre Unibail et I-Parks. Demain, le pacte d’actionnaires sera totalement différent. La Département céderait 40 % de ses parts à la Compagnie des Alpes et mettrait le reste dans une société d’économie mixte locale patrimoniale intitulée SEML Nouvelle du Futuroscope, dans laquelle elle serait associée à la Caisse des dépôts et à deux collectivités locales : Grand Poitiers et la Communauté d’agglomération du pays châtelleraudais.
Droit de veto

Avec 38 % des parts, cette nouvelle entité disposerait d’une minorité de blocage et, surtout, de quatre des onze sièges du conseil de surveillance de la société d’exploitation du Futuroscope, qui lui conféreraient un droit de veto pour les décisions les plus importantes. Le Département compte ainsi garder la mainmise sur des sujets tels que l’entrée au capital d’autres actionnaires, les investissements supérieurs à 6M€, la remise en cause du programme d’investissements et la détermination du nombre de jours d’ouverture du parc fixé à 270 par année civile.
Dans la corbeille, le conseil général s’engage à assurer les investissements du parc pour 2011, à prendre en charge les travaux de réhabilitation de l’Hôtel du Futuroscope et à racheter la société d’exploitation du palais des congrès. Le protocole doit être rediscuté une dernière fois le 29 septembre avec la Compagnie des Alpes. Reste une question : combien cela va-t-il rapporter au Département ? On le saura le 18 octobre.

Source:

http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/Politique/Comment-le-Futuroscope-va-t-il-etre-partage

 

L’arrivée de la Compagnie des Alpes au Futuroscope se précise

Le quotidien Centre Presse donne des précisions concernant l’état des négociations en vue de l’entrée de la Compagnie des Alpes dans l’actionnariat du Futuroscope.

Cela se précise et les élus de la Vienne ont eu droit hier à des explications sur l’accord prévu. 40 % des parts du parc à thème devraient être cédées à la Compagnie des Alpes qui prendrait ainsi les commandes du Futuroscope en 2012.

Actuellement, le département possède 70 % des actions du Futuroscope, la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) 20 % et le reste est détenu par Unibail et I-Parks. Si l’opération se déroule comme prévu le département céderait 40 % de ses parts à la Compagnie des Alpes et mettrait le reste dans une société d’économie mixte locale patrimoniale appelée SEML Nouvelle du Futuroscope, dans laquelle elle serait associée à la Caisse des dépôts et aux collectivités locales du Grand Poitiers et de la Communauté d’agglomération du pays châtelleraudais. Cette nouvelle entité disposerait d’une minorité de blocage et de quatre des onze sièges du conseil de surveillance de la société d’exploitation du Futuroscope avec droit de véto dur les décisions les plus importantes (comme l’entrée au capital d’autres actionnaires, les investissements supérieurs à 6 millions d’euros, la remise en cause du programme d’investissements et la détermination du nombre de jours d’ouverture du parc fixé à 270 par année civile). Il est aussi prévu que le conseil général assure les investissements pour 2011, prenne en charge les travaux de réhabilitation de l’Hôtel du Futuroscope et rachète la société d’exploitation du palais des congrès

Le 18 octobre le conseil général de la Vienne devra donner son accord pour que cette opération se réalise. Avant cela, le protocole sera encore discuté une dernière fois le 29 septembre avec la Compagnie des Alpes.

Source:

http://www.parcplaza.net/2010/09/larrivee-de-la-compagnie-des-alpes-au.html

 

Article Wikipédia sur la Compagnie des Alpes.
La Compagnie des Alpes est une entreprise française, filiale de la Caisse des dépôts et consignations, spécialisée dans les domaines skiables et les parcs d’attractions.
À l’origine elle était essentiellement axée vers le ski mais a diversifié ses activités à partir de 2001 avec l’achat de la société Grévin & Cie (désormais Division Parcs de Loisirs). Cette diversification « est une manière d’étaler les risques ».

La Caisse des dépôts et consignations, au travers de sa filiale développement crée en janvier 1989 la Compagnie des Alpes afin de fédérer le marché français des domaines skiables.
La société voit son introduction au Second Marché de la Bourse de Paris le 18 novembre 1994. Grâce à cela elle prend rapidement des participations dans plusieurs domaines des Alpes.
Fin 1996, la société s’installe à l’étranger en reprenant la station italienne de Courmayeur.
En 2000, la société entre à hauteur de 20,3% au capital de Téléverbier, l’opérateur de la station suisse de Verbier.
En 2001, elle poursuit en Suisse avec une prise de 38% du capital de l’exploitant de Saas Fee.
En 2002 :
Acquisition de 17 nouvelles boutiques, portant à 44 le nombre de magasins de sports (6,3 % du CA) avec un stock de 21 500 paires de skis en location.
En juin, la société rachète par OPA, pour 140 M.€, la société Grévin & Cie, propriétaire de sept parcs d’attractions — quatre en France (dont Parc Astérix et Musée Grévin), deux en Hollande et un en Allemagne —, afin d’entamer une diversification dans les parcs de loisirs.
En 2003, Grévin & Cie rachète deux parcs : l’aquaparc du Bouveret en Suisse en janvier et Panorama Park en Allemagne en décembre.
En 2004, la société reprend le domaine de Serre Chevalier en France et une nouvelle participation de 20% dans une station suisse, Riederalp. Et en juillet elle reprend le parc de Pleasurewood Hills en Angleterre.
En 2005, deux nouveaux parcs sont rachetés en France par Grévin & Cie : le parc animalier Planète Sauvage en avril et le parc d’attraction de la Mer de sable en juillet.
Le 23 mai 2006, la société rachète 5 parcs (sur 7) du groupe Walibi à la société StarParks et rebaptise la division Grévin & Cie en Division Parcs de Loisirs.
Le 1er octobre 2007, dans le cadre d’un accord avec la SOFIVAL, la Compagnie des Alpes rachète la STVI de Val d’Isère et prend des participations minoritaires de La Rosière, Valmorel et Avoriaz. Elle réalise cette opération dans le cadre d’une augmentation de capital permettant à la holding financière SOFIVAL de prendre 8,6% de son capital.
En 2007, a reçu dans ses 21 parcs européens, 9,4 millions de visiteurs.
En 2008, la Compagnie des Alpes lance Holiski, un abonnement de ski valable dans 10 de ses domaines skiables1 : après s’être acquitté d’un abonnement annuel, le skieur reçoit un badge d’accès qui lui permet d’accéder directement aux pistes couvertes par l’offre. Les journées de ski sont facturées le mois suivant.
En 2009, la Compagnie revend à la commune de Bagnes, en Suisse, ses 20.3% du capital action de Téléverbier. Le montant de la transaction s’élève à 13,8 millions d’euros, soit environ 20 millions de francs suisse 2. En cette même année, la compagnie vend sa participation de 41% dans le capital des Remontées mécaniques de Saas-Fee3 en Suisse également.

Source:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Compagnie_des_Alpes

 

 Article de Wikipédia sur la caisse des dépots et consignations:

Caisse des dépôts et consignations

Création    1816
Forme juridique    institution financière publique
Slogan(s)    « Foi Publique »
Siège social     Paris (France)
Filiale(s)    CNP Assurances, Icade, Société nationale immobilière (SNI), Transdev, Compagnie des Alpes, Egis, CDC Entreprises, Qualium Investissement, FSI, CDC Arkhinéo, Société forestière, CDC Biodiversité, CDC Climat, CDC Infrastructure
Site Web    www.caissedesdepots.fr/
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La Caisse des dépôts et consignations (CDC), parfois simplement appelée Caisse des dépôts, est une institution financière publique de la France créée en 1816. Placée sous le contrôle direct du Parlement, elle exerce des activités d’intérêt général pour le compte de l’État et des collectivités territoriales, mais elle a aussi des activités concurrentielles.

Le bâtiment de la CDC
La Caisse des Dépôts est créée par une des grandes lois sous la Restauration du 28 avril 1816 pour rétablir la confiance dans les finances publiques, après le Premier Empire. Grâce à son statut d’autonomie, elle peut gérer des fonds privés indépendamment du budget de l’État et assurer ainsi la protection de l’épargne. À partir de 1816, elle gère les consignations et les retraites des fonctionnaires et investit les fonds confiés à sa gestion.
1822 : premier prêt au développement local (port de Dunkerque)
1837 : centralisation des fonds collectés par les Caisses d’épargne à la Caisse des dépôts. Cette disposition est étendue en 1881 au livret A de La Poste.
1850 : création et gestion de la première Caisse des retraites pour la vieillesse (CRV).
1868 : création des deux premières caisses d’assurance-vie, gérées par la Caisse des dépôts : la Caisse nationale d’assurances en cas de décès (CNAD) et la Caisse nationale d’assurances en cas d’accidents (CNAA). Elles fusionneront en 1959 pour donner naissance à la Caisse nationale de prévoyance (CNP), devenue CNP Assurances et introduite en Bourse en 1998.
1890 : centralisation des fonds déposés par les particuliers chez les notaires, puis en 1985, des sommes reçues par les administrateurs et mandataires judiciaires (AJ-MJ).
1905 : premiers crédits au logement social, qui prendront toute leur ampleur avec la loi Loucheur de 1928 1.
1911 : recrutement des premières femmes.
1954 : création de la première filiale immobilière, pour répondre aux besoins urgents de construction de logements : la Société centrale immobilière de la Caisse des dépôts et consignatons (SCIC) devenue Icade.
1955 : création de la Société centrale pour l’équipement du territoire (SCET), en charge du développement et du partenariat avec les sociétés d’économie mixte. Intégrée au groupe SNI.
1960 : création des délégations régionales de la Caisse des dépôts et consignations, devenues directions régionales (au nombre de 25).
1963 : création de la Société forestière, filiale gestionnaire des domaines sylvicoles notamment ceux des investisseurs institutionnels.
1966 : création de la Caisse d’aide à l’équipement des collectivités locales (CAECL), pour compléter les financements direct de la Caisse des dépôts aux collectivités locales par des ressources de marché, qui donnera naissance au Crédit local de France (CLF) en 1987, puis à Dexia.
1994 : lancement d’un programme de financement en fonds propres des PME : PME innovation. Confié à sa filiale dédiée, CDC Entreprises, son rôle s’amplifie en 2006 avec le dispositif France Investissement.
2001 : regroupement de l’ensemble des métiers financiers concurrentiels dans une filiale, CDC IXIS, cédée en 2004 aux Caisses d’épargne, en contrepartie d’une participation de 35 % dans la Caisse nationale des caisses d’épargne, vendue en 2006. La gestion administrative du Fonds de réserve pour les retraites est confiée à la CDC.
2004 : rachat à l’État sa part majoritaire dans la Société nationale immobilière (SNI).
2005 : prise en charge, pour le compte de la Caisse autonome nationale de la sécurité sociale dans les mines (CANSSM) de la gestion des retraites minières2 et intégration dans les effectifs de la CDC des 415 salariés de la CANSSM3 ; création et gestion du registre national des quotas d’émission de gaz à effet de serre, à l’entrée en application du protocole de Kyōto et à l’ouverture du marché européen des quotas d’émission de gaz à effet de serre (GES).
2006 : résultat financier record de 3,65 milliards d’euros.
2007 : lancement du plan stratégique Elan 2020, avec la mise en place de quatre priorités pour répondre aux urgences du pays : le logement, les entreprises, les universités et le développement durable.
2008 : première perte financière de 1,5 milliard d’euros, dans le contexte d’une crise financière internationale naissante. Depuis les années 1990, la CDC s’était également intéressée à l’environnement, via la société forestière. Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, en 2008, la CDC a mis en place un « fond de compensation pour la biodiversité » via une filiale nouvelle nommée « CDC Biodiversité ». L’éligibilité sera contrôlée par un comité scientifique et par des représentants d’ONG de défense de l’environnement, pour aider les acteurs économiques à restaurer ou de compenser les dommages créés par les infrastructures et aménagements. Ouverture à l’international, avec la création du Club des investisseurs de long terme et CDC International.
2009 : création du Fonds stratégique d’investissement (FSI). Retour à un résultat financier positif.
2010 : lancement de deux nouvelles filiales : CDC Infrastructure et CDC Climat.
Statut et organisation

La Caisse des dépôts et consignations est régie par les articles L. 518-2 et suivants du code monétaire et financier4, revus en 2008 par la loi de modernisation de l’économie : « La Caisse des dépôts et consignations et ses filiales constituent un groupe public au service de l’intérêt général et du développement économique du pays. Ce groupe remplit des missions d’intérêt général en appui des politiques publiques conduites par l’État et les collectivités territoriales et peut exercer des activités concurrentielles. La Caisse des dépôts et consignations est un investisseur de long terme et contribue, dans le respect de ses intérêts patrimoniaux, au développement des entreprises. Elle est placée, de la manière la plus spéciale, sous la surveillance et la garantie de l’autorité législative. » (code monétaire et financier Art. L518-2)C’est une personne morale de droit public sui generis. Elle est placée sous le contrôle d’une commission de surveillance qui comprend des représentants du Parlement, du Conseil d’État, de la Cour des comptes, de la Banque de France, de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris et du directeur général du Trésor et de la Politique économique ainsi que des personnalités qualifiées. La Commission de surveillance rend des comptes devant le parlement : son président ainsi que le directeur général de la CDC sont auditionnés par les commissions des Finances de l’Assemblée nationale et du Sénat. Le président de la Commission de surveillance est un parlementaire : actuellement Michel Bouvard, député de Savoie, vice-président de la Commission des finances de l’Assemblée nationale.
L’administration de la Caisse des dépôts et consignations est confiée à un directeur général nommé pour cinq ans et à un caissier général. Le directeur général prête serment « de défendre l’autonomie de l’établissement et de garantir l’inviolabilité des fonds qui lui sont remis en garde ». Selon la loi d’avril 1816, il est personnellement et financièrement responsable de la gestion des fonds confiés à l’institution. Depuis mars 2007, cette fonction est occupée par Augustin de Romanet.
Dans les départements, la Caisse des dépôts s’appuie sur le réseau de ses directions régionales et des comptables du Trésor pour certaines opérations financières. Elle emploie à la fois des fonctionnaires et des personnels de droit privé. Elle est soumise au contrôle de la Cour des comptes.
Le siège de la Caisse des dépôts est situé au 56, rue de Lille, dans l’hôtel de Belle-Isle, à côté du musée d’Orsay. L’hôtel de Pomereu, à proxmité au 67 rue de Lille, abrite des bureaux et des salles de réception. Certains de ses services et filiales sont installés à Paris Rive Gauche, entre le quai d’Austerlitz et l’Avenue de France, ainsi qu’à Arcueil, Bordeaux et Angers. La Caisse des dépôts et consignations est également présente dans chaque capitale régionale de métropole ainsi qu’en Outre-Mer.
Missions actuelles

Les missions de la CDC sont aujourd’hui décrites aux articles L. 518-2 et suivants du code monétaire et financier4. Elle s’est dotée en 2007 d’un plan stratégique, Elan 2020, qui fixe quatre domaines d’action prioritaires : le logement, les entreprises et les PME, les universités et le développement durable.Missions d’intérêt général

Elle assure, pour le compte de l’État et des collectivités locales des missions d’intérêt général :gestion des fonds d’épargne (Livret A, LDD, etc.), financement du logement social par l’intermédiaire de ces fonds ;
financement et acteur de la politique de la ville ;
accompagnement des universités dans leurs projets et le financement de leur autonomie ;
financement et développement des TPE (Très petites entreprises, dont le micro-cérdit) et, en lien avec OSEO, des petites et moyennes entreprises (PME) françaises ;
promotion (recherche, notamment la mission Climat, etc.) et financement du développement durable (Bluenext, Powernext, etc.) ;
développement des territoires aux côtés des collectivités locales (25 directions régionales sur le territoire national et outre-mer);
gestion de régimes de retraite (48 institutions en gestion, plus de 75 000 employeurs, soit au total la gestion d’1 retraité sur 5) ;
gestion bancaire du service public de la Justice et de la Sécurité sociale (notamment les consignations) ;
grand investisseur institutionnel de long terme ;
gestion de mandats publics (Fonds européens, registre des gaz à effet de serre…).
Activités concurrentielles [modifier]
Elle gère en outre des activités concurrentielles par l’intermédiaire de ses filiales :
L’assurance de personnes [modifier]
CNP Assurances, premier assureur de personnes (assurance vie, capitalisation, assurance de dommages corporels) en France ;
L’immobilier [modifier]
Groupe SNI (Société nationale immobilière), premier bailleur français avec près de 300 000 logements gérés, spécialisé dans l’immobilier locatif d’intérêt général ;
Icade, ex-SCIC, holding dans l’immobilier, essentiellement recentrée sur le tertiaire (bureaux, parcs tertiaires, centres commerciaux, équipements de santé, etc.) ;
Le développement des entreprises [modifier]
CDC Entreprises, en charge des activités d’intérêt général de l’établissement public dans le domaine du capital investissement depuis septembre 2006 ;
Fonds Stratégique d’Investissement (FSI), filiale commune avec l’État (49 %, CDC, 51 %) intervenant en fonds propres dans les entreprises françaises porteuses de projets ;
Qualium Investissement, ancien nom de CDC Capital Investissement, société de gestion de portefeuille, agréée par l’Autorité des marchés financiers (AMF), gérant des fonds commun de placement à risque (FCPR), filiale rebaptisée Qualium en 2010 afin d’éviter toute confusion avec le Fonds Stratégique d’Investissement (FSI);
Le développement des infrastructures [modifier]
CDC Infrastructure : créée en 2010, filiale d’investissement direct de la CDC dans le secteur des infrastructures.
Les services [modifier]
Transdev: opérateur de (transports) public, présent dans 9 pays. Présent également dans le secteur des navettes fluviales et des « modes doux » (auto-partage, vélo) ;
Egis (groupe d’ingénierie et de conseil dans les infrastructures) ;
Compagnie des Alpes exploitation de domaines skiables et de parcs de loisirs, et Belambra(anciens VVF), exploitants de villages de vacances ;
Informatique CDC (ICDC) : créé en 1959 par la Caisse des dépôts, Informatique CDC est un groupement d’intérêt économique (GIE) dont les principaux membres sont la Caisse des dépôts (40 %), CNCE (30 %) et CNP Assurances (30 %).
L’environnement [modifier]
CDC Climat : infrastructures de marchés carbone, réduction des émissions de CO2, recherche via CDC CLimat Recherche ;
Société forestière, premier gestionnaire sylvicole de France, proposant des services d’investissement, de gestion et d’expertise ;
CDC Biodiversité, en charge de la gestion du fonds de compensation pour la biodiversité.
Le pôle confiance numérique [modifier]
CDC Arkhinéo : société d’archivage et de conservation à long terme de documents électroniques, Tiers-archiveur
CDC Fast : spécialiste des échanges électroniques sécurisés, Tiers de télétransmission
Investisseur institutionnel [modifier]
Le rôle d’investisseur institutionnel de la Caisse des dépôts s’est grandement renforcé depuis le milieu des années 2000. Ainsi, l’institution est-elle représentée au conseil d’administration des grandes entreprises, notamment du CAC 40. À son arrivée comme directeur général, Augustin de Romanet a souhaité améliorer la lisibilité des actions de la CDC. Le plan stratégique, défini en 2007, prévoit la mise en place de doctrines d’actions et d’une charte des administrateurs qui ont été rendues publiques en décembre 2008.
Ces doctrines5 couvrent deux champs d’action : l’investisseur et le mandataire.
Investisseur : elles précisent le cadre dans lequel la Caisse des dépôts exerce son métier d’investisseur financier et son métier d’investisseur dans des projets d’intérêt général. Elles comportent des principes communs d’investissement (long terme, essentiellement sur le territoire national, actionnaire minoritaire, respect des principes pour l’investissement responsable (ISR), rentabilité visée, participation à la gouvernance de l’entreprise, accompagnement du projet industriel, etc.). Cest textes précise également son rôle d’investisseur d’intérêt général : elle agit au profit du développement territorial et des PME. Ses investissements visent à répondre à des besoins collectifs, à la demande publique de l’État ou d’une collectivité territoriale, dans des secteurs insuffisamment couverts par le marché. Ses investissements respectent les règles des marchés et de la concurrence et prennent en compte les contraintes environnementales et de développement durable.
Mandataire : la Caisse des dépôts exerce des missions publiques, confiées par l’État telles que : dépôts réglementés, épargne défiscalisée, retraite, financement du logement social, tenue du registre national des émissions de gaz à effet de serre, etc. Elle intervient comme « tiers de confiance », dans le cadre de « mandats formalisés » et elle s’engage à assurer une gestion performante.
En tant qu’investisseur institutionnel la CDC est présente dans le capital de nombreuses entreprises : Veolia Environnement (10%),Alcatel-Lucent (2%), Accor (8,6%), PSA Peugeot Citroën (3%), EADS (2,5%), Schneider Electric (4,4%), Danone (3,6%), Dexia (17,61%), Michelin, Suez (groupe) (2,8%), Areva (3,6%), Saint-Gobain (3%), Valeo (6,5%), Société générale (2%),Eiffage (19.4%) … elle participe aussi par l’intermédiaire de ses filiales Qualium Investissement, CDC Entreprises, FSI) au capital de Quick (95%), Nexity, Cegelec, Dailymotion, CGVeritas, Saur, TDF, France Télécom… Cette dimension de « fonds souverain » a été fortement affirmée par la création d’un comité des sages en charge de superviser la présence de la CDC dans les grands groupes cotés. Après avoir été critiqué par la ministre des Finances, Madame Lagarde, en décembre 2007, le rôle d’investisseur public de la Caisse des dépôts a été souligné avec force par le président Sarkozy en janvier 2008.
La CDC n’est plus l’actionnaire de référence des Caisses d’épargne françaises (Groupe Caisse d’épargne). Un accord, signé fin mai 2006, met fin à sa présence au capital de la CNCE (création de la banque d’affaire Natixis).

En avril 2006, la Caisse des dépôts et consignations achète une partie du capital d’EADS cédé par DaimlerChrysler et le Groupe Lagardère, entraînant pour eux une importante plus-value latente. Cet épisode est un des volets de l’affaire EADS.6
Dans l’affaire qui opposent les hommes d’affaires belge Albert Frère et français Jean-Marie Kuhn, une filiale de la Caisse des dépôts est citée pour avoir racheté la chaîne de restaurants Quick à un prix surévalué. En France, le Tribunal de grande instance de Paris a fixé la date des plaidoieries finales au 7 janvier 2011.
Source:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Caisse_des_dépots_et_consignations

Agenda d’Hervé NOVELLI du 02 au 06 août 2010

Source : Ministère de l’Économie, des finances et de l’industrie (www.finances.gouv.fr) – Actualité publiée le 30 Juillet 2010 à 17:54

Lundi 02 août

7 h 50 Interview sur RTL

Déplacement à Richelieu (37)

14 h 45 Entretien avec Gérard BREMOND, Président de “Pierre et Vacances“

Source:

http://www.edubourse.com/finance/actualites.php?actu=65053

 

 

 

Center Parcs dans la Vienne
le 26/08/2010

Les négociations s’engagent !

La Vienne a été retenue par le Groupe Pierre et Vacances pour l’implantation de son 6e Center Parcs en France.

Claude Bertaud, Président du Conseil Général a officialisé l’excellente nouvelle pour le Département aux côtés de Jean Pierre Raffarin, Dominique Réant, Vice Président du Conseil Général en charge du Tourisme, Bruno Belin, 1er Vice-Président du Conseil Général, Président de la Communauté de Communes du Pays Loudunais, Edouard Renaud, Conseiller Général de Moncontour, Jean Touret, Conseiller Général de Loudun, Alain Fouché, Vice-Président, Président de l’Union Départementale des Offices de Tourisme et Syndicats d’Initiatives, Sénateur de la Vienne, Jean Pierre Abelin, Député de la Vienne.

Au cours d’une visite en Lorraine au Center Parcs du Domaine des Trois Forêts emmenée par Claude Bertaud et Jean-Pierre Raffarin, Gérard Brémond, Président du Groupe Pierre et Vacances – Center Parcs a fait part de son accord pour étudier de façon exclusive le site présenté par notre département et confirmer avant  la fin de l’année les conditions  de réalisation de cet investissement touristique majeur.

Depuis l’annonce, par les dirigeants du Groupe Pierre et Vacances, de leur volonté de s’implanter dans l’Ouest, les Elus du Département ont travaillé sans relâche, pour que la Vienne reçoive le 6e Center Parcs en France en 2015. Ce sera sur le canton des Trois-Moutiers, à cheval sur cette commune et celle de Morton sur plusieurs dizaines d’hectares.

Ils ont privilégié le travail de fond et l’efficacité à l’effet d’annonce et à la communication. Un choix couronné de succès !

Un projet remarquable, à l’image du Futuroscope il y a 25 ans :

300 millions d’euros d’investissement, équivalent aux investissements réalisés sur le Parc du Futuroscope depuis son origine
800 cottages
un millier d’emplois directs et induits à terme (600 emplois permanents ; 500 ETP)
environ 1,2 million de nuitées
une offre touristique exceptionnelle avec le Futuroscope et les autres sites structurants de la Vienne
taux d’occupation annuel prévu : 85%
un personnel essentiellement recruté dans le département et la région.
Center Parcs est une marque internationalement reconnue très largement plébiscitée par le public. C’est aussi la marque la plus verte dans le tourisme en France. Un concept qui répond parfaitement aux demandes croissantes de cours séjours de la clientèle touristique.

Au moment où le Conseil Général est en phase d’engager un partenariat avec la Compagnie des Alpes pour poursuivre le développement du Futuroscope, Claude Bertaud et son équipe donne une nouvelle impulsion et concrétise la stratégie que René Monory avait initiée afin que la Vienne   renforce son attractivité et sa dynamique économique, source de création de richesse et d’emplois.

Et si c’était ça le second souffle de la Vienne, quelques mois seulement après avoir subi de plein fouet une crise sans précédent.

Source:

http://www.cg86.fr/TPL_CODE/TPL_ACTUALITE/PAR_TPL_IDENTIFIANT/186/273-actualites.htm

 

LA CDA DOPE SON OFFRE ALSACIENNE
Par Mylène Girardeau | 24 juill. 2008 | 14H39
La Compagnie des Alpes veut dynamiser le pôle Bioscope / Ecomusée en Alsace en élargissant l’offre proposée.

La ville d’Ungersheim (Haut-Rhin) deviendra-t-elle une destination touristique à part entière ? Propriétaire du Bioscope, parc à thème sur l’environnement, et responsable de la commercialisation de l’Ecomusée consacré aux traditions alsaciennes, la Compagnie des Alpes souhaite créer davantage de liens entre ces deux sites distants de moins d’un kilomètre. Dans un premier temps, un chemin pédestre devrait être aménagé l’année prochaine pour inciter les visiteurs à fréquenter les deux parcs.

L’an dernier, le Bioscope ouvert en juin 2006 a connu une fréquentation modeste de 90 000 personnes contre 180 000 pour l’Ecomusée. «L’objectif est d’inciter la majorité des visiteurs d’un site à également découvrir le second. Nous proposons des tarifs attractifs combinant les deux visites pour 18 euros, mais c’est encore insuffisant » explique Alexia Muller, responsable communication.
Pour compléter l’offre existante, le groupe opérateur de parcs de loisirs et de remontées mécaniques réfléchit également à un important projet d’hébergement en partenariat avec le Français Pierre & Vacances pour faire du pôle Bioscope – Ecomusée une véritable destination touristique.

Un village de vacances en projet

Un parc aquatique de type Center Parcs pourrait voir le jour d’ici deux ans et demi. Un village de vacances de 300 à 500 maisons serait également construit en plusieurs phases, avec une première étape qui permettrait une ouverture dès la fin 2010.

Il s’agirait de réhabiliter des friches industrielles et de restaurer le site de la Thur et sa forêt de 50 hectares, pour lequel le fonds de biodiversité de la Caisse des Dépôts serait utilisé. Avec un coût estimé à 150 millions d’euros, le projet serait le fruit d’un partenariat public-privé toujours en négociation entre Pierre & Vacances, la Compagnie des Alpes, la Caisse des Dépôts et Consignations, et les collectivités locales (département et région). Un projet sur lequel la Compagnie des Alpes garderait un rôle d’opérateur et non d’aménageur.
Source:

http://www.loisirsattractions.com/fr/node/331

 

d’après News Parcs, la CDA (compagnie des alpes) serait en négocaition avec Pierre & vacances pour faire construire des maison et villages autour des parcs de la CDA…

Citation:
Les deux entreprises discutent actuellement afin de mettre en commun leurs compétences. Pierre et Vacances pourrait construire des maisons autour d’un parc appartenant à la Compagnie des Alpes.

La Compagnie des Alpes et Pierre et Vacances se connaissent bien. Les deux entreprises sont souvent présentes dans les même stations de montagne, l’une exploitant les remontées mécaniques et l’autre les résidences de tourisme.

Les deux partenaires réfléchissent à mener en commun un projet de développement immobilier autour du parc du Bioscope, opéré en Alsace par la Compagnie des Alpes. Près de 75 hectares sont disponibles. Ils pourraient à terme accueillir 350 à 500 maisons, a expliqué Jean-Pierre Sonois, président de la Compagnie des Alpes, en marge de la présentation de ses comptes du premier semestre.

Le site du Bioscope pourrait également être doté d’une bulle aquatique, sur le modèle de celles réalisées dans les Center Parcs, marque appartenant à Pierre et Vacances. « Cela permettrait d’ouvrir le Bioscope toute l’année », anticipe Jean-Pierre Sonois. Une perspective qui s’inscrit dans la stratégie de la Compagnie des Alpes qui a commencé à rouvrir certains de ses parcs, notamment le parc Astérix, au moment des fêtes de fin d’année.

Si ce projet aboutit, le concept de mise en place d’hébergements autour des parcs d’attractions pourrait être décliné autour d’autres sites exploités par la Compagnie des Alpes. Cela pourrait notamment être le cas autour du Parc Astérix en Région parisienne et autour du Walibi de Rhône Alpes. Enfin, le parc Walibi de Hollande dispose d’une quarantaine de maisons en mauvais état sur lesquelles la CDA est en réflexion. « Mais il faut construire le bon modèle économique », prévient Jean-Pierre Sonois.
David J.
Je sens comme l’envie de Pierre & Vacances de se rapprocher de l’industrie des parcs d’attractions pour essayer de mieux les mangers plus tard…

Source:

http://trash-parks.forumdesfans.com/t293-La-CDA-en-negociation-avec-Pierre-Vacances.htm

 

Un Center Parc en Loudunais ?

Depuis environ 6 mois, Dominique Réant, conseiller général du
canton des Trois Moutiers et Vice Président en charge du Tourisme
au sein du conseil général et son équipe ont beaucoup travaillé pour obtenir la venue en
Loudunais du sixième Center Parcs et ce, porté par Jean Pierre Raffarin.

Deux départements étaient en concurrence, le Maine et Loire et la Vienne.

Finalement, le groupe Pierre et Vacances a choisi notre département et en l’occurrence le
canton des Trois Moutiers.

Ce parc s’installera sur un terrain d’une superficie de 264 hectares de forêt et d’un plan
d’eau situé en face du Château de La Mothe Chandenier, dont environ deux tiers sur la
commune des Trois Moutiers et un tiers sur celle de Morton et est propriété d’une filiale de la
Caisse de Dépôts et Consignations.

Ce nouveau projet pourrait ouvrir au public d’ici 2014/2015. 800 cottages de conception
HQE sont d’ores et déjà annoncés pour ce centre de loisirs et la création de 600 emplois (le
recrutement se fera localement auprès des demandeurs d’emplois et des bénéficiaires du
RSA) pour atteindre le millier avec les emplois induits, sans oublier les retombées
économiques dans les secteurs de la construction, du tourisme.

Contrairement aux autres Center Parcs, celui-ci se voudra ouvert sur l’extérieur. En effet,
dans les autres parcs du groupe, les visiteurs arrivent et ne sortent plus le temps de leur
séjour, or, avec cette nouvelle mouture, Pierre et Vacance souhaite que les visiteurs
puissent sortir et aller visiter la région, Futuroscope
, Châteaux de la Loire, etc., mais surtout,
que les résidants ne se cantonnent pas à passer leur séjour seulement dans le parc.

Une très bonne nouvelle pour le Nord Vienne sinistré en matière d’emplois.

Source:

http://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:Pr48sfznnhgJ:umpvienne4.com/blog/wp-content/uploads/TXT-Un-Center-Parc-en-Loudunais.pdf+%22pierre+et+vacances%22+et+la+%22caisse+de+dépots+et+consignations%22&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESiq01AEXAVrKrB40jF9KYAzNTzlsPsQ1A6DdTtNTb49vDr4v96PN_7PKlpbEFyGs-hB4p9m2HqBTOyw8s-omOlltHwk2u2QQEY6TbJa7hTlPzx0vpYqNELn_7LIx18vT5G-7atg&sig=AHIEtbSwkxUMckagoMJzrFrAnjz7e0Wo7Q

 

 L’habile Vienne décroche un Center Parcs

 

Si René Monory était encore de ce monde, nul doute qu’hier matin il aurait bu du petit-lait en écoutant Claude Bertaud, son successeur UMP à la tête du Département de la Vienne, annoncer, aux côtés de Gérard Brémond, le président de Pierre et Vacances, leur volonté de travailler de concert afin de réaliser le sixième Center Parcs de France.

C’est à portée de fusil de Loudun (la ville dont Monory fut longtemps le maire, le théâtre de la célébrissime affaire Marie Besnard et la cité natale de Théophraste Renaudot, père des journalistes) que le projet va voir le jour. Sur un terrain de 264 hectares appartenant à la filiale forestière de la Caisse des dépôts, seront construits 800 cottages, soit 4 000 lits. Globalement, un investissement de 300 millions d’euros.

Dans la Vienne, le concept Center Parcs sera le même qu’en Normandie ou en Sologne. Soit une offre de quantité d’activités sportives (cheval, tir à l’arc, accrobranches, randonnée, etc.), un aquamundo, vastes piscines avec de nombreux jeux d’eau, à une température constante de 29 °C, un village piétonnier avec tout ce dont peut rêver un vacancier : restaurants, supérette, ferme des enfants…

CONSEIL RÉGIONAL
Ségolène Royal suivra-t-elle ?

Inutile de dire que ce projet de Center Parcs illumine depuis quelques semaines les visages des élus UMP de la Vienne et de la région. Lesquels gonflent les biceps face à Ségolène Royal, accusé de n’être forte qu’en communication. Dans l’atmosphère délétère qui est celle du Conseil régional, le projet de Loudun est venu sur le tapis lundi dernier. À propos de formation. Mme Royal a semblé ne pas entendre. Elle sera à nouveau sollicitée sur le sujet. Par contre, Claude Bertaud ne semble pas se faire d’illusion quant à l’entrée de la Région dans la société d’économie mixte qui va naître. Rappelons que dès son élection de 2004, Mme Royal avait cédé les parts de la Région dans le Futuroscope.

Bagarre interne à l’UMP
Par les temps qui courent, inutile de dire qu’un projet de cette ampleur est une manne pour un département. Entre 500 et 1 000 emplois tout au long des deux ans de chantier (janvier 2013 à janvier 2015), 600 emplois directs, plusieurs centaines d’autres induits, en voilà une bonne affaire.

On devine à quel point la bagarre a été sévère entre les deux prétendants à cette réalisation dans le Grand Ouest, à savoir le Maine-et-Loire et la Vienne. Le premier de ces deux départements est présidé par l’un des petits Mozart de l’UMP, Christophe Béchu, auquel Nicolas Sarkozy avait imposé, voilà deux ans, de prendre la tête de liste aux européennes dans la grande région, avant celle des régionales, cette année, dans les Pays de la Loire.

Mais dans la Vienne, on compte aussi parmi les sénateurs un certain Jean-Pierre Raffarin, qui continue à tirer la plupart des ficelles… Résultat des courses, le Phénix du Poitou a passé la ligne d’arrivée nettement devant le bébé Sarko de l’Anjou.

Défiscalisations
Quand on voit Gérard Brémond, on s’imagine aisément qu’entre lui et Jean-Pierre Raffarin (surnommé durant des années le maquignon de Matignon), le contact soit aisément passé. Brémond, c’est l’homme qui a fait Avoriaz avec le champion olympique Jean Vuarnet, qui a su exporter nombre de concepts de tourisme vert, avec une image écologique… et qui a bâti un empire, numéro un du tourisme de proximité en Europe.

Il gère aujourd’hui, avec ses 9 400 salariés, la bagatelle de 230 000 lits, accueille chaque année plus de 7 millions de clients – dont 48 % de Français -, pour un chiffre d’affaires proche du milliard et demi d’euros.

Le secret, c’est que les « cottages » des Centers Parcs ne sont pas, dans leur immense majorité, la propriété du groupe, mais celle d’investisseurs privés désireux soit de placer leurs économies pour percevoir un loyer – « un rendement de 4,5 % leur est assuré » affirme M. Brémond, ce qui est loin d’être toujours confirmé par les intéressés -, soit de bénéficier d’avantages fiscaux.

De ce côté-là, les choses vont-elles demeurer en l’état ? « Qui a aujourd’hui des assurances sur la fiscalité ? » répond le créateur de Pierre et Vacances, en parlant du « coup de rabot » porté au crédit d’impôts. Et d’ici à 2015, beaucoup d’eau risque de passer sous les ponts de Loudun…

« Sans incitation fiscale, nous avons un plan B » glisse, matois, Gérard Brémond, qui n’en dit pas plus.

Seconde grande ligne de la stratégie financière du groupe, le partenariat privé-public. Dans le projet de la Vienne, le Département va être amené à mettre la main à la poche à hauteur de 30 millions d’euros.
Pour l’instant, Claude Bertaud est obligé de rester vague quant au mode d’intervention de sa collectivité. Ce qui est certain, c’est que les fonds qui seront injectés au Center Parcs proviendront de la cession de parts que le Département possède au Futuroscope, lequel affiche actuellement une santé resplendissante. C’est le 18 octobre prochain que les élus du Conseil général délibéreront sur la question.

Une belle mariée
Hier matin, lors de la présentation officielle, la mariée était superbe. Des emplois en période difficile, c’est l’aubaine, d’autant plus que 65 % des personnes recrutées seraient soit des bénéficiaires du RMI où du RSA, soit des chômeurs en fin de droits.

Les entreprises de la région seront privilégiées, cela a été promis, les 350 000 clients attendus chaque année (on cible 1,2 million de nuitées) iront bien dépenser quelques sous à l’extérieur, d’autant plus que des passerelles seront mises en place avec le Futuroscope et divers sites du secteur. Le tout avec une image très écologique, la grande serre du « paradis aquatique » chauffée grâce à une chaudière bois, préservation de la biodiversité, tri des déchets et on en passe.

Il est vrai qu’à l’heure de la cérémonie, la mariée est toujours jolie…

Source:

http://www.sudouest.fr/2010/09/17/l-habile-vienne-decroche-un-center-parcs-187391-755.php

 

Politiques : petits bonus estivaux entre (faux) amis
05/09/2010 05:40
Cet été, l’UMP a pris ses distances avec les ratés du gouvernement. Déclarations de Raffarin. Et, surtout, Center Parcs. Embarrassant pour le PS ? Pas sûr !

C’est un coup de billard à deux bandes en pleine torpeur estivale. Alors que le gouvernement est englué dans sa politique sécuritaire et bien embarrassé par l’affaire Woerth, un ancien Premier ministre se démarque. Et pas n’importe lequel.
Jean-Pierre Raffarin, le sénateur UMP poitevin, en plein mois d’août, prend d’abord ses distances avec la politique de Brice Hortefeu. Puis, dans la foulée, annonce, avec une retenue presque monacale, l’implantation plus que probable d’un Center Parcs dans le Loudunais. Plus précisément aux Trois-Moutiers. En moins d’une semaine, Jean-Pierre Raffarin a ainsi offert une nouvelle virginité morale à la droite poitevine. Qui en avait bien besoin.
Un coup politique de haut niveau

En prenant ses distances avec le gouvernement et en offrant (presque) sur un plateau un projet touristique pharaonique (500 emplois directs, un chantier colossal jusqu’à 2015) à un Nord Vienne économiquement à l’agonie, l’ancien Premier ministre enfile à nouveau le costume du sauveur de la droite poitevine.
Jean-Pierre Abelin, le député Nouveau Centre du Nord Vienne et les élus du Loudunais, tous frappés par la crise, peuvent donc tous se lever d’un seul homme « pour Jean-Pierre ».
En juillet, un ténor socialiste du département s’était confié à l’un de nos journalistes. « Si Center Parcs s’installe dans le département, disait-il alors, nous aurons du mal à prendre le conseil général à la droite en mars prochain… »
Pas faux. Ce projet de Center Parcs, mené dans une discrétion quasi-absolue par Jean-Pierre Raffarin a eu comme effet de resserrer les élus poitevins. Et, surtout, d’effacer quelques rancoeurs tenaces sur le Loudunais, la future terre d’accueil de Center Parcs. Ce qui n’est pas rien. Enfin, un tel chantier aura des conséquences positives bien au-delà du Loudunais. Le Châtelleraudais, forcément, en tirera quelques bénéfices. Au moment des cantonales, la droite poitevine saura rappeler aux électeurs qu’elle est bien la seule actrice de cette réussite.
La gauche n’a pu qu’assister à cette leçon de chose politique donnée par le maître d’école Raffarin. Mais pouvait-elle se permettre la moindre critique ? Non. Alain Claeys, le maire de Poitiers, a ainsi déclaré, dans la foulée de l’annonce de Center Parcs, « ce qui est bon pour la Vienne est bon pour Poitiers et vice-versa… »
L’élu poitevin savait alors qu’il jouait déjà à son Raffarin. Quelques jours après, il annonçait l’implantation, à Poitiers, du centre névralgique de la future ligne LGV Europe Atlantique. A la clé, 400 emplois. Techniciens et ingénieurs, principalement. Et au député socialiste de donner à nouveau son refrain du mois, joué à l’envers cette fois : « Ce qui est bon pour Poitiers est bon pour la Vienne et vice-versa ». Un partout. Balle au centre.
Un centre névralgique pour la LGV

En plein été, sans un bruit, la droite a ainsi rentré du bois pour l’hiver des prochaines cantonales. Voilà un Center Parcs qui servira bien Claude Bertaud, le président UMP du conseil général, au moment d’une campagne annoncée délicate.
Alain Claeys, en plein chantier Coeur d’Agglo, un virage délicat à gérer, a lui aussi soigné son image et son électorat. Tout cela est tellement bien fait, tellement bien placé dans le calendrier, qu’on pourrait presque croire que le hasard fait bien les choses. C’était l’été des petits bonus estivaux entre (faux) amis.
Jean-Yves Le Nezet

Source:

http://www.nrco.com/vienne/ACTUALITE/Environnement/Politiques-petits-bonus-estivaux-entre-faux-amis

 

Loudun
Center Parcs en fil rouge

21/09/2010 05:35
Jean-Pierre Raffarin a appelé à la mobilisation. Rassemblés autour de Mme Monory et de Jean-Pierre Raffarin, les élus du loudunais ont procédé samedi à la double inauguration de la 37 e foire-exposition et de l’espace culturel René-Monory. A l’heure des discours, le projet Center Parcs était sur toutes les lèvres. D’Eleftérios Benas à Maryse Morrachini, sous-préfet de Châtellerault, tous les intervenants ont salué le travail des élus locaux et de ceux qui, tels Hugues Lallemand, ont travaillé dans l’ombre à « ce succès pour le nord-Vienne et son économie ». Evoquant le remodelage du tour de ville, le maire évoquait les chantiers majeurs : Portail Chaussé, Viennopole, tour carrée, avant d’évoquer une phrase chère à René Monory: « Soyez réalistes, demandez l’impossible ! » Partant de deux mots chers à René Monory : Intelligence et attractivité, l’ancien Premier ministre invitait tous les acteurs locaux à rester mobilisés et rassemblés pour la réussite de ce grand chantier. La représentante de l’Etat saluait l’oeuvre du Président Monory, créateur du SISEL et de l’intercommunalité, avant le traditionnel tour des stands. Revenus au point de départ, les officiels accompagnés des maires de Saumur et de Fontevraud (Maine-et- Loire) ont visité l’espace culturel, dont les travaux de mise à niveau représentent 1.450.000 €, dont 500.000 à charge de Loudun. Après la visite des stands installés dans la salle, en particulier celui de la CCPL, les visiteurs ont accueilli le « Croquant de Loudun » au cours du vin d’honneur. Cette nouveauté, lancée par la biscuiterie « Les Douceurs du Terroir » d’Arçay, est un macaron aux amandes grillées, réalisé par deux jeunes artisans, Richard Biren et Marc Léonard.

Source:

http://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/ACTUALITE/Economie/Commerce/Center-Parcs-en-fil-rouge

 

« A moi, Center Parcs !  »
22/09/2010 05:38
Un lecteur loudunais revient sur l’inauguration de la foire-exposition de Loudun, samedi. Une vraie  » course à l’échalote  », selon lui.
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« La couverture, tirée de toutes parts, faillit ne pas résister », écrit Philippe Fortin, de Loudun. -

L’inauguration de la 37 e foire-exposition de Loudun avait tout d’une course à l’échalote entre les représentants de la droite départementale. Et c’est à qui allait mieux que les autres démontrer combien son action avait été déterminante. Du maire de Loudun à la sous-préfète, en passant par MM. Bertaud, Fouché, Abelin et Raffarin, chacun y est allé de l’excellence et de la discrète réussite de son implication. Quant au conseiller général local, Jean Touret, il dut s’imposer juste avant le président du conseil général pour pouvoir s’exprimer car il avait été « oublié » dans la liste des intervenants.
La couverture, tirée de toutes parts, faillit ne pas résister. De ces palabres, nous retiendrons (et rappellerons, à l’occasion) les annonces du président Bertaud : « Les investissements engagés par le conseil général dans ce projet n’entraîneront pas de pression fiscale supplémentaire… Les emplois générés seront à 85 % des recrutements sur le Pays loudunais et 65 % devront aller aux demandeurs en difficulté, chômeurs de longue durée, bénéficiaires du RSA et travailleurs handicapés. »
Tous ont fait le parallèle entre cet effet d’aubaine (dont nous sommes impatients, malgré tout, de voir signer les premiers contrats déterminants) et la réussite touristique départementale que constitue le Futuroscope. Mais aucun d’eux ne signala que, dans le premier cas, ils se sont retrouvés à une table de négociation proposée alors que dans le second la réussite fut essentiellement liée à la volonté d’un seul homme.
Ce dernier, René Monory, était à l’honneur puisque l’on inaugurait l’espace culturel qui désormais portera son nom. Les mêmes intervenants, dont la quasi-totalité lui doit beaucoup, ne tarirent pas d’éloges pour leur mentor. Mais dans ce cas, pourquoi avoir attendu le deuxième jour de la Foire pour venir l’inaugurer ? Le devoir de reconnaissance passait-il vraiment après un désir de présence dans d’autres lieux, plus porteurs électoralement, au risque de rendre incompréhensible des Loudunais cette curieuse innovation ?
L’intense et discrète émotion de Mme Monory et de sa fille

Chacun se fera sa propre opinion mais, au moment de dévoiler les plaques au nom du président Monory, la seule chose qui méritait de l’intérêt et de l’attention, c’est l’intense et discrète émotion qui se lisait dans les regards de Mme Monory et de sa fille, pour lesquelles j’imagine volontiers que ces instants revêtaient une tout autre dimension.  »
Source:

http://www.lanouvellerepublique.fr/TRIBU-NR/Entre-vous-et-nous/A-moi-Center-Parcs-!

 

Center Parcs : le projet dévoilé
le 16/09/2010

Gérard Brémond, Président de Pierre et Vacances a exposé le projet touristique, environnemental et économique du futur Center Parcs de la Vienne.

Ce projet d’envergure a été présenté à l’Assemblée Départementale lors d’une Commission Générale le 16 septembre. Gérard Brémond, Président du Groupe Pierre et Vacances Center Parcs et Claude Bertaud, Président du Conseil Général, ont apporté des éclairages sur le projet et sur le partenariat public-privé.

Ce partenariat devrait prendre la forme d’une Société d’Economie Mixte qui assurera certains investissements du Parc. L’investissement public attendu de 30 millions d’euros, sur un investissement total de 300 millions, laisse envisager l’ampleur du projet et les retombées escomptées.

Un projet nouvelle génération

Comme le Futuroscope, le Center Parcs sera un atout touristique et économique majeur pour la Vienne. Gérard Brémond appelle d’ailleurs de ses vœux un partenariat entre les deux entreprises. Ce partenariat développerait ainsi une attractivité mutuelle.

En effet le futur Center Parcs poitevin appliquera la nouvelle stratégie du groupe : créé dans le Nord du département sur les communes des Trois-Moutiers et de Morton, le parc s’ouvrira vers les autres destinations touristiques de proximité, comme le Futuroscope pour la Vienne ou encore les Châteaux de la Loire.

Le projet économique

Les atouts du projet économique ont été rappelés, cela à l’appui de l’expérience des 4 autres Center Parcs que compte la France, en Normandie, Sologne, Aisne et Moselle :

600 emplois directs pour l’exploitation du domaine, dont 85% de recrutements locaux
entre 500 et 1000 emplois indirects pendant les deux années de travaux
800 cottages, 4 000 lits, 1,2 millions de nuitées
Le Center Parc de la Vienne sera conçu dans une démarche HQE (Haute Qualité Environnementale).

Si le projet Center Parcs doit entrer dans l’histoire du développement de la Vienne, comme le Futuroscope, Claude Bertaud a dévoilé la « petite histoire » du projet : c’est de façon très simple et inattendue que Gérard Brémond a annoncé l’implantation dans la Vienne lors d’une rencontre au domaine des Trois Forêts en Moselle, dernier Center Parcs créé. Un lieu de bonne augure !

Source:

http://www.cg86.fr/TPL_CODE/TPL_ACTUALITE/PAR_TPL_IDENTIFIANT/206/273-actualites.htm
 

Et dans le blog de JP Raffarin, 2 billets:
CenterParcs, domaine des trois forêts en Moselle

Avec le Président du Conseil général de la Vienne, mon ami Claude Bertaud, nous nous sommes rendus aujourd’hui en Moselle pour visiter le denier né de Centerparcs.
C’est un investissement de 250 millions d’euros pour 800 éco-cottages qui accueillent 4500 personnes par semaine au cœur d’une forêt de 435 ha. AquaMondo, ferme pédagogique, halle de sports, 5 restaurants, 2 km de rivière…
Tous ces loisirs sont directement accessibles aux clients. L’orientation du parc est prioritairement écologique : équipement haute qualité environnementale, 0 voiture, maîtrise de l’eau et de l’énergie, ISO 14001… La qualité du site est profondément séduisante.
Voilà un merveilleux outil d’ attractivte pour notre aménagement du territoire.je suis sur qu un tel projet en complément du Futuroscope serait une grande chance pour la Vienne (le nombre de nuites d’ un centerparcs est equivalent a celui du Futuroscope).Nous y travaillons.
Voilà un merveilleux outil d’attractivité pour notre aménagement du territoire. Je suis sûr qu’un tel projet en complément du Futuroscope serait une grande chance pour la Vienne (le nombre de nuitées d’ un centerparcs est équivalent à celui du Futuroscope).
Nous y travaillons.
jpr

Center Parcs dans la Vienne :
Les négociations s’engagent !
La Vienne a été retenue par le Groupe Pierre et Vacances pour l’implantation de son
6ème Center Parcs en France.
Claude Bertaud, Président du Conseil Général a officialisé l’excellente nouvelle pour le Département aux côtés de Jean Pierre Raffarin, Dominique Réant, Vice Président du Conseil Général en charge du Tourisme, Bruno Belin, 1er Vice-Président du Conseil Général, Président de la Communauté de Communes du Pays Loudunais, Edouard Renaud, Conseiller Général de Moncontour, Jean Touret, Conseiller Général de Loudun, Alain Fouché, Vice-Président, Président de l’Union Départementale des Offices de Tourisme et Syndicats d’Initiatives, Sénateur de la Vienne, Jean Pierre Abelin, Député de la Vienne.
Au cours d’une visite en Lorraine au Center Parcs du Domaine des Trois Forêts emmenée par Claude Bertaud et Jean-Pierre Raffarin, Gérard Brémond, Président du Groupe Pierre et Vacances – Center Parcs a fait part de son accord pour étudier de façon exclusive le site présenté par notre département et confirmer avant la fin de l’année les conditions de réalisation de cet investissement touristique majeur.
Depuis l’annonce, par les dirigeants du Groupe Pierre et Vacances, de leur volonté de s’implanter dans l’Ouest, les Elus du Département ont travaillé sans relâche, pour que la Vienne reçoive le 6ème Center Parcs en France en 2015. Ce sera sur le canton des Trois-Moutiers, à cheval sur cette commune et celle de Morton sur plusieurs dizaines d’hectares.
Ils ont privilégié le travail de fond et l’efficacité à l’effet d’annonce et à la communication. Un choix couronné de succès !
Un projet remarquable, à l’image du Futuroscope il y a 25 ans :
- 300 millions d’euros d’investissement, équivalent aux investissements réalisés sur le Parc du Futuroscope depuis son origine
- 800 cottages
- un millier d’emplois directs et induits à terme (600 emplois permanents ; 500 ETP)
- environ 1,2 million de nuitées
- une offre touristique exceptionnelle avec le Futuroscope et les autres sites structurants de la Vienne
- taux d’occupation annuel prévu : 85%
- un personnel essentiellement recruté dans le département et la région.
Center Parcs est une marque internationalement reconnue très largement plébiscitée par le public. C’est aussi la marque la plus verte dans le tourisme en France. Un concept qui répond parfaitement aux demandes croissantes de cours séjours de la clientèle touristique.
Au moment où le Conseil Général est en phase d’engager un partenariat avec la Compagnie des Alpes pour poursuivre le développement du Futuroscope, Claude Bertaud et son équipe donne une nouvelle impulsion et concrétise la stratégie que René Monory avait initiée afin que la Vienne renforce son attractivité et sa dynamique économique, source de création de richesse et d’emplois.
Et si c’était ça le second souffle de la Vienne, quelques mois seulement après avoir subi de plein fouet une crise sans précédent.

http://www.carnetjpr.com/2010/08/25/centerparcs-domaine-des-trois-forets-en-moselle/

 

04.09.2010
Soutien de l’Etat pour Centerparcs

Au cours d’une réunion à l’Elysée, les représentants de l’État ont confirmé à Claude Bertaud et à moi-même leur soutien effectif et financier au projet de Centerparcs dans la Vienne. C’est une excellente nouvelle pour la réussite du projet. Il faut dire que la création de 1000 emplois correspond à la mobilisation de tous engagée par le Président lors de sa venue en 2009 dans le Chatellerauldais.
J’ai participé hier à plusieurs réunions de mise en place du projet en Poitou et je suis très heureux de mesurer que l’esprit d’unité et de solidarité se développe simultanément à la dynamique des projets. En pensant à « notre » Ernest, je me suis rendu dans le sud du département, dans le Pays Civraisiens, où la vallée de la Charente est particulièrement belle, pour rappeler ma disponibilité pour aider les projets du Sud-86.
Retour à la politique dimanche soir dans Soir 3 sur France 3.
jpr

Source:

http://www.carnetjpr.com/2010/09/04/soutien-de-letat-pour-centerparcs/

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